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Anouk Baars amène en Afrique du Sud la première édition du Tor des Glaciers

Avec les yeux un peu fatigués, mais avec un sourire magnifique. Ainsi Anouk Baars, dans la matinée du samedi 14 septembre, a franchi la ligne d'arrivée du Tor des Glaciers, remportant la victoire (en ce qui concerne le classement féminin) de la course la plus dure du monde, (450 km et 34 000 mètres de dénivelé positif) en 183 heures.

Anouk, qui se définit un peu néerlandaise, un peu vénézuélienne et un peu sud-africaine (elle vit à Johannesburg, ville de 4,5 millions d’habitants), a un passé professionnel de designer fashion, mais depuis quelques années, elle est une mère à temps plein qui court tout le temps. "Au fil du temps - dit-elle - je me suis entraînée d'abord en poursuivant mes enfants et puis en courant avec eux, presque comme des copains d'équipe. Mes enfants, qui ont 7 et 9 ans, aiment beaucoup faire des longues randonnées en montagne et peuvent parfois courir jusqu'à 15-20 kilomètres de suite. Nous avons récemment fait des vacances en Vallée d’Aoste et ils ont donné leur mieux!". Transmissions de l'ADN.

"Comment j'ai trouvé le Tor des Glaciers ? Une course magnifique pour les paysages et les gens, mais très dure en ce qui concerne les aspects techniques. C'était comme faire une série infinie de skyrace sans arrêt. Il y a des descentes raides et des montées difficiles chaque jour, plusieurs fois par jour. Ces courses sont généralement belles et dures. Le Tor de Glaciers a été beau et très dur".

Anouk est transitée au Parco Bollino de Courmayeur avec un bon rythme, comme si elle était de retour d'un entraînement de routine le matin: les derniers 500 mètres ont été une succession de salutations et de fêtes avec ses amis, mais aussi avec des inconnus qui se trouvent au bord de la rue et qui traversent la ville.

Enfin, on attend encore l’arrivée de Marina Plavan, qui a été longtemps en première position et qui a fait rêver ses fans à Courmayeur (Marina, originaire de Pinerolo, est néanmoins une habituée des montagnes de la Vallée d’Aoste) pour une victoire italienne. Mais dans les courses de montagne, longues ou courtes qu’elles soient, on peut être sûr d'avoir gagné seulement à l'arrivée. Parce que les imprévus et la fatigue sont bien cachés derrière chaque courbe du parcours.

Updated: Sat, 14/09/2019 - 15:03